Coma vigile, mort cérébrale et transplantation d’organes
9,00€
Questions de la médecine d’aujourd’hui Par le Dr Christian Schopper
Cet ouvrage traite très directement, avec des exemples vécus, du sujet trop rarement abordé de la mort et de la transplantation d’organes. Le moment de la mort est rendu aléatoire aujourdhui par les progrès des technologies médicales et dépend souvent de la décision de personnes proches, des médecins, plus rarement des patients eux-mêmes. L’article soutient notre réflexion sur ces situations extrêmes en décrivant les différents états de coma et de mort cérébrale.
L’auteur, le docteur Christian Schopper, a été coresponsable à l’hôpital universitaire de Zürich de l’établissement du diagnostic de mort cérébrale pendant les années où il était neurologue au service de médecine intensive. Il montre la complexité de cette question, et sa gravité, par des exemples concrets. En effet au-delà de la souffrance causée par la perte d’un être cher, il est demandé aux proches de se prononcer sur l’arrêt des traitements en cas de mort cérébrale. En effet, cest à partir du moment où une personne est déclarée morte sur le plan juridique et médical que peut être envisagée la transplantation d’organes. La médecine de transplantation peut alors prélever des organes vivants sur une personne déclarée morte.
Christian Schopper relève la nécessité d’une réelle réflexion sur une définition de la mort qui soit conforme à l’être humain dans sa totalité. À son avis, ce débat devrait se fonder sur une réelle compréhension de ce qu’est la vie et, en ceci, la médecine anthroposophique, dans sa recherche constante sur la nature humaine et sur la compréhension du vivant, peut apporter une aide considérable à la médecine en général. Et il y apporte ici son importante contribution.
Coma vigile, mort cérébrale et transplantation d’organes
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Questions de la médecine d’aujourd’hui Par le Dr Christian Schopper
Cet ouvrage traite très directement, avec des exemples vécus, du sujet trop rarement abordé de la mort et de la transplantation d’organes. Le moment de la mort est rendu aléatoire aujourdhui par les progrès des technologies médicales et dépend souvent de la décision de personnes proches, des médecins, plus rarement des patients eux-mêmes. L’article soutient notre réflexion sur ces situations extrêmes en décrivant les différents états de coma et de mort cérébrale.
L’auteur, le docteur Christian Schopper, a été coresponsable à l’hôpital universitaire de Zürich de l’établissement du diagnostic de mort cérébrale pendant les années où il était neurologue au service de médecine intensive. Il montre la complexité de cette question, et sa gravité, par des exemples concrets. En effet au-delà de la souffrance causée par la perte d’un être cher, il est demandé aux proches de se prononcer sur l’arrêt des traitements en cas de mort cérébrale. En effet, cest à partir du moment où une personne est déclarée morte sur le plan juridique et médical que peut être envisagée la transplantation d’organes. La médecine de transplantation peut alors prélever des organes vivants sur une personne déclarée morte.
Christian Schopper relève la nécessité d’une réelle réflexion sur une définition de la mort qui soit conforme à l’être humain dans sa totalité. À son avis, ce débat devrait se fonder sur une réelle compréhension de ce qu’est la vie et, en ceci, la médecine anthroposophique, dans sa recherche constante sur la nature humaine et sur la compréhension du vivant, peut apporter une aide considérable à la médecine en général. Et il y apporte ici son importante contribution.
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